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Bon je ne suis pas vraiment doué pour le dessin, mais je sais écrire une histoire, créer un monde, bref faire jouer mon imagination (ou la votre) sur le papier.

Donc si vous etes dessinateur et que vous avez besoin d'un scénar, n'hesitez pas

PS: en ce moment je suis en train d'écrire un scénar sur l'histoire du Rock'n'Roll au Etats Unis... Ca va cartonner ^^

Ah bin montre nous un peu ce que tu fais, ca à l'air interessant tou ça...

Pour le rock je ne suis qu'en pahse de recherches (je vous montrerai les photos des papiers, bouquins et CD's eparpillés sur mon bureau^^)
Niveau texte je n'ai que des nouvelles, qui ne m'ont jamais satisfait...
Et j'ai un "début" de scénar, dans un style réaliste comptemporain sur le monde adolescent (ecrit comme un scénar de ciné, parceque c'est ma formation première^^)... here: http://www.picdo.net/Fichiers/40d15d07b68142af2a21b56817da2af/Vies.doc

Et aussi tout un univers parralèle crée par moi.. mais je le trouve pas abouti... C'est un de mes tout premier texte... En le relisant je me rends compte que ce n'est pas très original et un peu trop "gamin" à mon gout... here: http://www.picdo.net/Fichiers/384064feb4f1381f9991a55ed499aef/MonkVerse.doc

Voila en gros ce que j'ai ;

Hey Charlie (on t'a trouvé finalement, avec ton putain de pull rayé).

Bon, là ça passe, une fois n'est pas coutume, mais essaie de poster directement tes réçits sur le forum.
Tant pour des raisons de sécurité (on sait pas ce qui circule sur le net) que pour des raisons de commodités.

Si tes textes sont longs, n'aie pas peur des triples posts

Ooki, désolé, j'y penserai la prochaine fois ... ^^'

Bien, je vous poste donc les textes:

Le 1er, le début de scénar:

Citation :

Vies


Story Line

Un jeune adolescent en terminale se donne la mort en se pendant. Après l’annonce officiel, ses camarades et amis n’arrivent pas à accepter l’idée que celui-ci se soit suicidé, car c’était contraire à son caractère et ses idéaux. Ne croyant pas à la thèse du suicide, ils essayent de chercher qui aurait put lui en vouloir au point de le tuer.
Au fur et a mesure qu’ils égrainent ses souvenirs, ils se rendent compte qu’il ressentent de la culpabilité, car ils ont touts fermés les yeux sur un détail, un geste une parole, qui, après réflexion, ressemblait plus a un appel a l’aide qu’a une blague ou un simple trip.
Une d’entres eux, ressort un vieux manuscrit, un livre qu’il avait écrit il y a quelques mois, et que celle-ci n’avait lu qu’en diagonale. Troublant, il a écrit sa vie, comme si il savait qu’elle allait se finir rapidement. L’épilogue est lu à haute voix, et sur le dernier mot, le film se finit.


Synopsis

Un jeudi matin, à l’heure de la sonnerie, les élèves de la TL d’un lycée de province sont surpris de voir arriver dans leur classe le directeur. Celui-ci leur annonce une mauvaise nouvelle, un de leur camarade de classe (Louis) s’est pendu la nuit même. Choqués, les élèves sont renvoyés chez eux pour quelques jours. Profitant de ces jours de libres, ceux-ci décident de se réunir chez l’un d’eux, pour tirer cette histoire au clair.
Aucun d’eux ne peut imaginer Louis se suicidant, lui qui est d’habitude si joyeux, parfois ronchon, mais jamais renfermé, ou méchant. Prétextant un besoin de parler, ils ont presque tous eu l’autorisation de dormir sur place.
Il est 3heures lorsque la discussion commence. Dans un salon, plutôt cossu, tous sont fatigués, mais ont besoin d’échanger. Ils comment par parler de lui, de son caractère avec les autres et en cours.
1ère série de souvenirs, en classe.
Louis, un « gentil branleur », qui a un rêve, devenir comédien, mais qui ne supporte plus le système scolaire, et fout tout en l’air en ne faisant rien. Un souvenir d’une altercation un de ses professeurs, lui réclamant plus de régularité

Extrait du journal trouvé (ou du livre confié à l’amie)

Epilogue

Je me pose beaucoup de questions. Ai-je toujours été comme je voulais l’être ? Ou alors en ce moment est ce que je ne suis pas en train de trahir ce que j’ai toujours été. J’ai tout essayé, je ne sais ni peindre, ni chanter, ni sculpter, la musique n’en parlons pas, quand au théâtre….ah le théâtre…. Lorsque les gens me disent bon je ne peux que croire à des politesses. Et même quand je pense à mon avenir, je pense me plaire plus à faire de l’évènementiel ou même de la réalisation… Je me pose beaucoup de question, je ne sais plus qui je suis réellement… On m’a souvent dit que la période de l’adolescence était très complexe, et jusqu'à là je n’y ai jamais cru.
Depuis peu je regrette de ne pas avoir de tunes, alors que jusqu'à là je n’en avais rien à foutre. Je suis certain que si j’avais autant d’argent que certains ados du bahut, je pourrais en faire beaucoup de choses.
Déjà, au lieu de créer une marque de Tee-shirts, je créerai une boîte de prod, pour produire les jeunes artistes, les coacher, leur trouver une scène où se produire, organiser des soirées etc… Oui j’ai envie de me faire connaître, de rencontrer des gens, d’en faire rencontrer…
Plus jamais de Samedi soir devant la télé, rien à foutre du bahut, des études, je veux juste vivre comme je veux !!! Est-ce trop demander ? Je n’aurais jamais la force de me dire, attends un peu, travaille bien quelques années et tu pourras concrétiser ton rêve… NON ! Je veux y travailler maintenant, je ne veux plus être inactif… Merde
Je suis de plus en plus violent avec moi-même et avec les autres… Les petites pulsions sont remplacées par de violentes envie de meurtres.. J’en ai marre de ces petits cons, qui réussiront dans la vie grâce à leur chéquier.... Et pourtant si j’avais le leur, je serais sûrement pareil… Dois je remercier mon père ? Ma mère ? Je ne sais pas… Si sûrement, pour tout ce qu’elle a fait pour moi…
Je suis de plus en plus lunatique. A une heure de différence, une fille peut passer du stade de relation à celui de putain. Ne sont elles pas toutes des putains ? Celle qui te dise non, car cela briserait une relation d’amitié très forte ? Celle qui te dise oui pour te faire cocu avec la première bite venue ? Celle qui ne disent rien, car elles sont prudes ? Toutes ! Toutes ! Toutes !
J’ai besoin de parler, mais je n’ai pas d’interlocuteur, personne à qui je puisse me confier, dès que je parle je dis une connerie. Ca fait rire, mais ça ne m’aide pas… Je veux appeler à l’aide, les gens ne comprennent pas, ils me prennent soit pour un boulet de première, en TL, encore tout moche, en période de changement, soit pour un mec qui se fout de tout, donc de lui-même… Mais j’ai envie de leur hurler qui je suis !!! Je ne suis entouré que de visages de cire, personne, jamais ne donne de vrai sourire. Je pense que le mal-être des adolescents est bien plus destructeur que les bombes américaines. Personne ne peut vraiment nous comprendre, car sortir de cette période signifie aussi l’oublier. Nous sommes seuls face à nous même, face à nos erreurs, à nos triomphes, aucun moyen de communication avec les autres…
Bien sûr j’ai quelques amis, mais je n’ai pas encore assez confiance en notre amitié pour tout leur dire, peut être un jour…. Peut être pas… Peut-être aurais-je la force de le faire…
Aujourd’hui, je ne peux plus rien à mon destin, je suis seul face à lui, avec comme intermédiaire…une simple corde…

jadore tes textes trop hot !

MERCI POUR LE TEXTE